Dans Ken Park de Larry Clark et Edward Lachman, le cunnilingus de Shawn et Rhonda.

Sur Fluctuat, Cette séquence ne s'embarrasse pas de glamour. Au contraire, sa crudité offre au spectateur une séance d'apprentissage peu érotisée mais dérangeante et excitante à la fois, à la frontière du porno.

Sur boxe avec les mots, Shawn, adolescent en recherche de lui-même à travers la sexualité, couche avec Rhonda, la mère de sa petite amie, MILF ex-cheerleader, éphébophile sensible et sensuelle. (...) quand l’adolescent encore naïf recherche la performance parfaite -on peut penser aux standards pornographiques-, l’adulte experte mais désabusée est en quête de douceur et de sensibilité.

Je vous laisse juger.

A part le slip qui n'est pas glamour, Rhonda au départ n'a aucune idée de l'enchainement des actions que nous allons découvrir dans cette scène. Elle pense certainement que c'est elle qui va caresser ce garçon et l'amener à l'éjaculation libératrice. Mais c'est elle qui s'excite et elle va laisser le garçon lui apporter le plaisir qu'elle va avoir quelque soit la qualité de la technique de son jeune protagoniste.

Et ce jeune garçon va découvrir le mystère du plaisir féminin. Et l'étonnement est grand.

Si l’orgasme est quasi systématiquement atteint par les hommes (dans plus de 90% des rapports sexuels), il ne l’est systématiquement que par… 16% des femmes. 55% déclarent l’atteindre «souvent» lors d’un rapport, 21% «rarement», et 5% jamais.«Depuis les années 2000, on assiste à une injonction à la performance. Et à jouir. Les hommes sont devenus très exigeants là-dessus. Il y a même une sorte de nouveau terrorisme masculin à ce propos. Et cela met les femmes en difficulté. Depuis deux ans, je vois des couples qui se séparent car la femme ne jouit pas.» Philippe Brenot les Femmes, le sexe et l’amour

Délit de luxure c'est le terme utilisé par l'avocat de Dominique Strauss Kahn dit DSK dans l'affaire du Carlton. (Rien à voir à part le K)

Délit de luxure

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